J'IRAI OÙ TU IRAS
-Version du Tour de France-
Il y a des moments si beau Qu'on voudrait y croire Quand on veut les saisir Quand on sait les voir Puisqu'il faut vivre Être ensemble ou se suivre C'est beaucoup plus fort Je suis peut être celle Qui te fermera les yeux Peut être qu'on se croise Pour un instant ou deux Dans ce qui nous entoure Y'a tellement d'élans d'amour Qui se perdent Là Là C'est un volcan qui gronde Là Là C'est un rêve qui s'en va Là Là Un homme qui sort de l'ombre Là Là Et se bat Là Là On s'écroule sous le nombre Là Là Mais les enfants sont rois Là Là On est au bout du monde Là Là Mais moi J'irai où tu iras Quelquefois je suis l'eau Quand tu voudrais le feu Peut-être qu'on est seul Même quand on est deux Mais quand tout semble possible Partager l'inaccessible C'est beaucoup plus fort Là Là C'est une passion qui sombre Là Là On fait des feux de joie Là Là On veut refaire le monde Là Là On y croit Là Là C'est la force qui tombe Là Là Et fait régner sa loi Là Là La colère et la fronde Là Là Mais moi J'irai où tu iras Là Là Là Là Où tu iras Où tu iras (Longues vocalises finales) "Merci, bonsoir, je m'appelle Don Myrick, je joue du saxophone alto. Bonsoir, je m'appelle Lui-Lui et je joue trombonne, merci, merci beaucoup. Bonsoir, mon nom est Harry, je joue de la trompette et je suis très très content d'être ici avec vous, merci. Bonsoir, je m'appelle Rohmlee et je joue de la trompette aussi et je vous aime. Les Phoenix Horns ! Je sais pas si vous avez remarqué, mais on n'est jamais content de ce qu'on a. Moi, par exemple, j'aurais adoré être une chanteuse de blues, noire... un peu... ici. Parce qu'en général, quand elles en ont là, y'a la voix qui suit. Et ce qui est génial avec un spectacle, c'est qu'on peut tout imaginer. Par exemple, on va s'imaginer qu'on est dans une boîte de jazz à New York. Et pour ça, il suffit de faire..."